Lieu de tournage Divorce Club

Les décors de rêve du film Divorce Club : de la French Riviera à la banlieue new-yorkaise

Divorce Club, la nouvelle comédie de Michaël Youn, nous entraîne dans les péripéties hilarantes d’un groupe d’hommes fraîchement divorcés. Partagés entre la joie de retrouver leur liberté et la difficulté de tourner la page, ils vont vivre des aventures rocambolesques dans un décor de rêve. Car oui, les lieux de tournage jouent un rôle essentiel dans ce feel-good movie détonnant.

Choisir le bon cadre pour une comédie est crucial. Il doit à la fois servir l’histoire, apporter une touche d’humour et faire voyager le spectateur. C’est un véritable défi que l’équipe de Divorce Club a su relever avec brio, en posant ses caméras sur la French Riviera et dans la banlieue new-yorkaise.

Suivez-nous dans cette visite guidée des lieux emblématiques du film, de la somptueuse villa Rocabella aux décors naturels de la Côte d’Azur. En bonus, nous vous emmènerons aussi dans les coulisses de la série HBO Divorce, avec Sarah Jessica Parker. Prêts pour un voyage au cœur des décors les plus glamour du cinéma ?

La French Riviera comme écrin de la comédie

Le Var et Toulon sont des terres de tournages prisées par le cinéma français et international. Lumière idéale, paysages époustouflants, douceur de vivre… Tous les ingrédients sont réunis pour poser une belle image et sublimer une histoire. C’est donc tout naturellement que Michaël Youn a choisi de poser ses caméras sur la Côte d’Azur pour donner vie à Divorce Club.

La pièce maîtresse des décors azuréens du film est sans conteste la villa Rocabella. Nichée au cœur du Pradet, cette sublime demeure Belle Epoque a des allures de palace. Son architecture grandiose, ses jardins luxuriants et sa petite plage privée en font un lieu absolument unique et hors du temps. Un écrin rêvé pour une comédie feelgood !

Michaël Youn, qui endosse à la fois les casquettes de réalisateur et d’acteur pour Divorce Club, explique son choix : « La maison est un des personnages de l’histoire : à la fois grandiose et rococo avec des recoins hallucinants comme une petite plage privée ou des jardins suspendus… Tourner là-bas nous a apporté une « production value » qu’on aurait pas pu avoir ailleurs. »

Pendant deux mois, l’équipe a investi ce décor de rêve pour un tournage riche en péripéties et en fous rires. François-Xavier Demaison se souvient : « C’était assez dingue de tourner dans un tel lieu. On se serait cru dans un Cluedo grandeur nature ! On passait notre temps à se perdre dans les couloirs mais c’était une expérience géniale. » Arnaud Ducret surenchérit : « Il y avait une ambiance de colonie de vacances, c’était hyper chaleureux et stimulant de travailler dans cet environnement privilégié. »

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Outre la villa, la production a également multiplié les décors naturels autour de Toulon, pour apporter une touche authentique et lumineuse. Les scènes de plage par exemple, indispensables à une comédie estivale, ont été tournées sur les plus beaux spots de la région. Un régal pour les acteurs et l’équipe ! Car au-delà de l’aspect esthétique, c’est bien la lumière du sud qui fait la différence à l’écran. Un personnage à part entière selon Youn.

Mais comment offrir un tel écrin à une comédie française quand on n’a pas le budget d’un blockbuster hollywoodien ? C’était tout le défi de la production, qui a dû redoubler d’imagination pour trouver des solutions. Tourner dans une villa plutôt que dans un studio, opter pour des décors naturels, faire appel à des prestataires locaux… Un savant mélange d’ingéniosité et de débrouillardise qui a porté ses fruits, puisque le rendu visuel a bluffé tout le monde, à commencer par les producteurs eux-mêmes !

Le pari était osé mais le résultat est à la hauteur des ambitions : avec la French Riviera, Divorce Club s’offre un écrin sublime, lumineux et feel good. De quoi mettre en valeur l’histoire tout en transportant le spectateur. Un cocktail gagnant made in Côte d’Azur !

La maison du Divorce Club, un personnage en soi

Bienvenue dans la demeure la plus convoitée de la Côte d’Azur ! La villa du Pradet, qui a servi de décor principal au film Divorce Club, est un véritable joyau architectural. Estimée à 19 millions d’euros, elle a tout d’un petit paradis privé. Suivez-nous pour une visite guidée exclusive de ce lieu d’exception.

Dès l’entrée, le ton est donné : un majestueux portail en fer forgé ouvre sur un parc paysager de toute beauté, où se nichent des essences rares et exotiques. En empruntant l’allée de graviers, on découvre peu à peu la bâtisse Belle Epoque et sa façade ouvragée. Perron en marbre, balustrades en pierre, moulures délicates… Chaque détail évoque l’art de vivre à la française dans ce qu’il a de plus raffiné.

A l’intérieur, le charme opère encore davantage. Les vastes pièces de réception, baignées de lumière, dévoilent des éléments de décor incroyables : cheminées en marbre, boiseries anciennes, fresques au plafond, lustre en cristal… Un condensé d’élégance, qui fait écho au panorama époustouflant qui se déploie depuis chaque fenêtre. Car c’est bel et bien sur la mer que la villa donne, avec une vue à 180 degrés sur la grande bleue !

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Mais la magie ne s’arrête pas là. En déambulant dans la maison, on découvre des petits trésors de quiétude comme un patio arboré, un salon bibliothèque douillet, une terrasse tropézienne… Chaque recoin invite à la détente et à la rêverie. Les plus chanceux pourront même profiter d’une petite plage privée, tapie au pied de la propriété. Un luxe absolu, que les acteurs de Divorce Club ne sont pas prêts d’oublier !

Car pendant deux mois, Arnaud Ducret, François-Xavier Demaison et leurs partenaires ont vécu au rythme de la villa, investissant chaque pièce pour les besoins du tournage. Une expérience hors du commun pour les comédiens, comme le confie Arnaud Ducret : « C’était assez fou de se dire qu’on allait passer autant de temps dans une maison qu’on ne pourrait jamais s’offrir ! On était conscients de la chance qu’on avait. Du coup, on en a vraiment profité, en tournant dans le jardin, sur la plage… On s’est laissé porter par la magie du lieu. »

François-Xavier Demaison abonde : « La villa était tellement photogénique que ça apportait vraiment une valeur ajoutée à chaque scène. C’était un personnage à part entière ! Je pense que les spectateurs vont être époustouflés par ce décor. Ça va leur donner envie de partir en vacances ! »

Un enthousiasme partagé par toute l’équipe du film, qui a pris un plaisir fou à investir ce lieu hors-norme. Il faut dire qu’une telle villa est une denrée rare, même sur la Côte d’Azur. Le réalisateur Michaël Youn le confirme : « Trouver le bon décor pour une comédie, c’est toujours un casse-tête. Il faut un lieu attractif, lumineux, qui permette de créer du rêve… Tout en étant crédible et accessible ! Autant dire que c’est mission impossible. Alors quand on a déniché cette villa, on a sauté sur l’occasion. On savait qu’on tenait notre décor de rêve. »

La maison du Divorce Club ressemble finalement à un mirage, un petit bout de paradis posé sur la Méditerranée. Un écrin hors du temps, qui fait autant rêver les personnages que les spectateurs. La plus belle des cartes postales azuréennes !

Tourner en province plutôt qu’à Paris, le choix de Michaël Youn

Quand on pense cinéma français, on imagine souvent des tournages parisiens. Pourtant, de plus en plus de réalisateurs comme Michaël Youn choisissent de poser leurs caméras en province. Pour Divorce Club, le réalisateur a jeté son dévolu sur le sud et ses décors naturels. Un choix payant à bien des égards.

Tourner loin de la capitale, c’est d’abord l’assurance d’un véritable dépaysement. Pour les acteurs comme pour les spectateurs. « Quand on tourne à Paris, on a tendance à toujours retrouver les mêmes décors, les mêmes atmosphères. En allant en province, on découvre de nouveaux paysages, de nouvelles ambiances. Ça stimule la créativité et ça apporte une vraie bouffée d’oxygène », confie Michaël Youn.

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L’autre grand avantage du tournage en province, c’est une certaine facilité pour poser sa caméra. Exit les embouteillages, la foule, les autorisations complexes… Place à des conditions de travail plus sereines. « En région, les gens sont souvent plus ouverts et enthousiastes à l’idée d’accueillir un tournage. C’est moins la course contre la montre, on peut prendre le temps de faire les choses bien », ajoute le réalisateur.

Et puis il y a ces fameux décors naturels, qui apportent une vraie valeur ajoutée à l’image. Lumière exceptionnelle, paysages de carte postale… Le sud regorge d’atouts qui font toute la différence à l’écran. François-Xavier Demaison en est convaincu : « Tourner dans le Var, ça veut dire une luminosité extra, même en hiver. Ça veut dire aussi des vues mer, du relief, des petits villages pittoresques… Visuellement, c’est quand même bien plus attractif que le périph’ ! »

Un enthousiasme partagé par toute l’équipe du film, qui a été conquise par cette parenthèse enchantée loin de Paris. « C’est vrai qu’au début, on se demande si ça ne va pas être compliqué de s’éloigner de la capitale. Mais en fait, on se rend vite compte que c’est une chance. Le voyage, le dépaysement, ça soude une équipe. Et c’est chouette de découvrir de nouvelles régions », confirme Arnaud Ducret.

Michaël Youn ne dit pas autre chose : « Depuis que j’ai goûté aux joies du tournage en province, c’est devenu une évidence. Pour une comédie solaire comme Divorce Club, c’était un choix naturel. Le sud, c’est la vie ! ». Difficile de lui donner tort !

Conclusion

De la French Riviera à la banlieue new-yorkaise, Divorce Club et Divorce nous prouvent que les décors sont bien plus que de simples lieux de tournage. Ce sont de véritables personnages, qui participent pleinement à la réussite d’un film ou d’une série.

En choisissant des cadres naturels et dépaysants, en prenant soin de chaque détail, en osant sortir des sentiers battus… Les équipes de ces deux productions ont mis toutes les chances de leur côté pour offrir un résultat qualitatif et feel good.

La villa Rocabella, les paysages de la Côte d’Azur, les petites maisons de Tarrytown… Tous ces décors de rêve donnent furieusement envie de faire ses valises et d’aller se mettre au vert ! La preuve que quand le cinéma est bien fait, il nous transporte et nous fait voyager. Loin, très loin de notre quotidien.

Alors en attendant de pouvoir découvrir Divorce Club sur grand écran et Divorce sur petit écran, pourquoi ne pas prévoir une virée sur la French Riviera ou dans la vallée de l’Hudson ? Histoire de prendre un peu de cette magie des décors de cinéma, et de découvrir les coulisses glamour des tournages !

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